Pourquoi la vie des personnalités publiques serait-elle la seule qui mériterait d’être racontée dans un livre ? Ecouter et retranscrire dans un livre le parcours de personnes gravement malades, c’est le métier des biographes hospitaliers. Une cinquantaine est formée en France, mais tous n’exercent pas, faute de moyens ou de partenariat avec les établissements de…
La Nantaise Christine Carmona est biographe hospitalière. Elle recueille la parole des personnes en fin de vie. Elle fait partie de l’association Passeurs de mots et d’histoires qui veut faire reconnaître la biographie hospitalière comme un véritable soin de supports. Découvrir l’article complet
Depuis six mois, Florence Saint Loubert Bié, Nantaise de 54 ans, exerce la profession naissante de biographe hospitalière. Au cœur de l’établissement privé Saint-Joseph Saint-Luc, à Lyon, elle propose aux patients en soins palliatifs de transformer leur histoire de vie en un livre. Découvrir l’article complet
Pionnière de la biographie hospitalière, Valéria Milewski a inventé il y a 15 ans ce nouveau métier du soin et de l’écoute. Pour que les malades incurables puissent se raconter dans un livre, dédié à leurs proches, et retrouver l’apaisement. Découvrir l’article complet
Une quinzaine de malades incurables sont pris en charge dans l’unité de soins palliatifs des Diaconesses, à Paris. Dans la foulée de la Convention citoyenne sur la fin de vie, Emmanuel Macron a plaidé en faveur d’un plan pour ces services, en plus d’une nouvelle loi. Découvrir l’article complet
Dans cette unité parisienne de soins palliatifs, les patients peuvent faire écrire leur histoire à une biographe. Une façon de laisser une trace de leurs parcours de vies, de leurs expériences, désillusions ou passions, mais aussi de participer à un projet aux effets thérapeutiques concrets. Découvrez l’article complet
Sophie Varadi et Marjorie Berti, de l’association Biographies hospitalières Grand Est, rencontrent des malades en soins palliatifs et couchent leur vie sur le papier. Un véritable soin de support pour les soignants. Le livre est ensuite offert à la personne désignée par le patient. Découvrir l’article complet
Ils sont vingt-deux « passeurs de mots » en France, qui proposent aux patients de se confier au seuil de leur mort. Une activité mal reconnue qui devrait bientôt être considérée comme un soin dans le cadre du plan sur la fin de vie. Nous avons suivi l’une d’eux dans un hôpital pionnier, à Chartres….